- Prénom : Connor Frédéric mais appelez-moi Connor. Je n'apprécie pas mon second prénom, alors à moins que tu veuilles te retrouver couvert de sauce tomate, ne tente pas le diable.
- Age et date de naissance : C'était un certain 2 avril 1987... Si on compte bien, je dois avoir dix-huit ans.
- Profession : Il faut bien passer par cette étape. Le lycée... à notre époque, c'est bien la seule possibilité de trouver un travail plus tard, et pour ceci, je suis inscris dans la petite ville de Forks. Pourquoi là-bas ? C'est un pur hasard, après avoir chercher des lieux sur internet, j'ai eu un coup de cœur pour le paysage de cette ville. Les options de leur lycée nous convenaient, à ma sœur et moi, alors nous avons déménagés là-bas.
Your Life ...
Votre Enfance : J'aurai beaucoup trop à dire de cette période. On nous en parle comme si c'était le pilier de la vie, sur quoi tu te reposes en grandissant. C'est là que tu apprends à marcher, à parler et puis que tu entres en maternelle où tu apprendras à écrire, à compter. Quand çà irait mal, tu devrais repenser à ces moments, et sourire à nouveau. A mes yeux, ce n'est rien de tel. La primaire me fait penser à toutes ces heures interminables où je devais faire l'idiot pour ne pas m'ennuyer. Non, je ne pourrais les oublier. J'ai eu du mal, surtout avec les divisions. Les mathématiques et moi n'avons jamais été amis, même maintenant. A cette époque, tout allait à peu près bien, ou du moins j'avais ma famille encore au complet. Ma mère, Mary était maitresse. D'ailleurs, je n'ai jamais compris pourquoi elle s'était orientée dans cette section, elle n'avait aucun tact avec les enfants et encore moins de patience. Pourtant, il fallait bien en avoir, après je n'en sais pas plus, elle ne faisait que les CP et CE1, et je n'ai pas eu la chance de l'avoir. C'était dommage, j'aurai pu la voir plus souvent. Mon père, John, lui il n'était pas souvent présent. Son travail, vous comprenez, c'était un artiste. Il était compositeur dans un groupe de musique, et avec toutes les répétitions, et les concerts qu'ils faisaient, je ne le voyais pas. J'avais un billet d'offert pour Noël, mais çà ne remplace pas l'absence d'un père. Alors, dès l'âge de six ans, j'ai demandé à ma mère si je pouvais faire du piano, pour essayer de le comprendre. Il en faisait, alors je n'avais pas besoin d'en acheter un, et puis ma famille était musicienne. Ma sœur commençait la batterie, alors que ma mère jouait de la guitare depuis toute petite. J'aimais cela, la maison était moins vide, il y avait toujours de la musique, ce qui rendait nos moments plus conviviales. Ce n'était pas simple tous les jours, j'avais la fâcheuse tendance à me crêper constamment le chignon avec ma sœur, et ma mère n'en avait rien à faire.
« MAMAN, MAMAN ! Connor n'arrête pas de m'embêter. » « Tu vois bien que tu parles pour rien dire, elle ne t'écoute pas. » « Mais si, tu vas voir... Maman. Mais elle est où, bon sang ? » « Hum, dans la cuisine, je crois. » « Je t'ai demandé quelque chose, à toi ? Occupe-toi de tes fesses! » « J'ai 7ans, mais je suis sur qu'elles sont plus propres que les tiennes. »
Je m'en souviens, elle avait élaboré une magnifique grimace, surprise des propos que j'osais lui dire. Dans notre ancienne maison, çà résonnait drôlement. Elle nous entendait donc, mais ne voulait pas répondre. Il y avait mieux à faire à la télévision, sûrement, ou alors, Mary était dans la salle à manger, en train de corriger ses copies. Alors que pendant ce temps, ses deux enfants allaient s'entretuer bientôt si elle ne réagissait pas. Ce n'était pas amical, nous ne nous apprécions réellement pas, et heureusement que par la suite, sa personnalité a évolué, car nos relations se seraient encore plus dégradées. J'étais très taquin, et elle n'appréciait pas qu'on l'approche de trop près. Nous en rigolons encore aujourd'hui, les choses ont quelques peu changées, c'est plutôt quand on ne vient pas lui parler que Co' se fâche.
« Les enfants, j'ai quelque chose à vous dire. »
On ne l'écoutait déjà plus. Je lui en voulais de nous ignorer chaque jour, alors pour une fois que l'inverse était envisageable. C'était tellement rare qu'elle vienne nous parler dans notre chambre que je me doutais que quelque chose n'allait pas, ou n'allait plus. J'attendais donc qu'elle nous lâche le morceau, et je ne pourrais pas me taire.
« Va-y, ne nous fait pas attendre plus longtemps. » « Votre père et moi, on ne se voit plus, alors... » « Sans blague... Ça casse ? » « On peut dire çà, oui... il va quitter la maison, mais vous le verrez très souvent, ne vous inquiétez pas. » « Ouais, comme d'habitude quoi, donc jamais.»
La nouvelle ne me surprenais pas, je ne savais pas comment leur couple avait duré aussi longtemps. A ce moment, j'avais regardé ma sœur, tout de même inquiet. Même si je ne l'appréciais pas tant que çà, je ne voulais pas que l'on soit séparés. Malgré tout, c'était un moyen comme un autre de se distraire. Papa quitta donc la maison, en disant un vague au revoir. J'aurai voulu le serrer dans mes bras, lui dire qu'il me manquera, mais les mots ne sont pas sortis de ma bouche. Il partit, mais il n'avait plus de place dans notre famille depuis longtemps. A sept ans, ne savoir que ce c'est qu'un câlin, çà peut arriver, ce n'est pas évident à gérer, mais ma vie changea après cela. Ma mère était encore plus stressée, nous étions constamment en retard chaque matin pour aller à l'école. Pourtant, j'avais toujours le sourire, et tout le monde croyait que j'avais une vie de rêve. Vous savez... ce ne sont pas souvent ceux qui souffrent le plus qui se plaignent. Ce n'était pas du courage, je ne voulais tout simplement pas lâcher prise. Je savais que si cela arrivait, je resterai au fond du puits, et personne n'irait me chercher, car personne n'était au courant. Chloé vivait mal les choses aussi, mais c'était une fille, et vous savez comme elle peuvent être fortes quand elles le veulent.
J'avais à présent huit ans, et j'avais à peine "perdu" mon père que celui-ci revint un après-midi à la maison. Étant encore un enfant, je croyais que tout c'était arrangé. Il était accompagné d'un garçon qui ne m'inspirait pas confiance. L'adolescent devait être majeur, à quelques années près.
« Papaaa ! » « Je ne reste pas longtemps Connor. Chloé est ici? » « Bah oui, pourquoi, tu veux que j'aille la chercher ? » « Oui, tout à fait... »
Je quitta la pièce, ne me doutant pas qu'il voulait juste parler seul à seul avec maman.
« Écoute, Mary, je sais que je n'ai pas toujours été présent pour toi, pour les enfants. Ce pourquoi je suis là, je préfère te le dire maintenant que nous sommes séparés. Quand on était mariés, j'ai... tu sais, les concerts, les nuits blanches, j'avais besoin de me détendre, alors j'ai bu, et tu me connais quand je suis saoule. J'ai fais une connerie, et là voici. C'est... c'était au début, nous n'étions pas encore mariés, écoute je suis désolé. Je ne t'en ai jamais parlé car je ne savais pas qu'elle était tombée enceinte. » « Comment oses-tu venir dans cette maison, en me disant cela ? » « Je ne t'aurais pas demandé si je n'avais pas le choix. Mikaël a quelques problèmes, et je me vois mal le prendre en tournées, çà ne serait pas bon pour lui. » « Tu veux dire, comme pour tes enfants ? Après tout, ils ont vécus la même chose. » « Hais-moi si tu veux, mais pas lui. Cet enfant n'a rien fait. Sa mère vient de mourir, il n'a personne. Si tu ne le prends pas, il va finir en prison, vu comment il tourne. » « Non mais c'est bon, et pis j'ai même pas envie de venir habiter ici. » « Mikael, tait toi, et laisse-moi parler, s'il te plait. » « Toi, le père que je viens de rencontrer hier ? Laisse-moi rire !»
Elle l'avait regardé. L'enfant, comme son ex-mari disait, était plus un jeune homme qu'autre chose. Cela se voyait qu'il n'allait pas bien, son visage était couvert de bleus. A croire que c'était un petit délinquant.
« C'est d'accord, mais je le fais pour lui, et non pas pour toi. Maintenant, sort de chez moi. »
Qui aurait cru que cette phrase aurait changé nos vies. Mary ne nous expliqua pas grand chose, nous avions un demi-frère et il fallait l'héberger. Immédiatement, je m'étais empressé d'aller lui parler. Quelle surprise, quand il me ferma la porte de sa chambre au nez. Un garçon sans la moindre politesse. A 16 ans, je n'aurai pu me douter que la crise d'adolescence ressemblait à cela. Au fil des années, nos relations se s'arrangèrent guère... il parlait de temps en temps avec Chloé, elle était plus grande que moi, alors ils avaient plus de choses à se dire. L'enfant grandissait aussi, devenant une jeune fille de plus en plus belle. Quand nous fûmes tous les deux au collège, j'appris à la connaître. Des garçons l'a trouvant très mignonnes l'embêtaient, et j'étais en quelque sorte son bouclier. Il n'y en avait pas un qui la touchait, c'était ma sœur. J'étais protecteur envers elle, et même si au début, elle n'appréciait pas tant que çà, Chloé ne tarda pas à me remercier de la sortir de bien des situations, alors que je ne pratiquais pas de sport de combat, j'avais de la force à quatorze ans. Oh que oui.
Entre temps, malgré l'absence de mon père, je n'avais pas arrêté la musique, je m'étais même découvert un autre talent: Le chant. Et depuis, plus rien ne m'arrêtait. Je jouais constamment, c'était une façon d'être proche de lui. Au collège, on parlait de moi ainsi: " Le garçon qui a une voix d'ange ". Dans les couloirs, entre les cours, il m'arrivait souvent de taper amicalement l'épaule d'un ami, car j'étais aimé. On me connaissait au moins de vu, j'étais très social. La musique m'avait sortit du noir, c'était une source inépuisable de joie. Pendant ce temps, mon frère avait l'air d'aller mieux, il n'avait pas voulu faire d'études, mais Mike avait réussi à trouver des petits jobs, et sa détermination lui permettait de gagner de l'argent, afin de contribuer aux dépenses de la maison. Non pas qu'il n'aimait pas se faire loger et nourrir gratuitement, mais sa fierté ne l'acceptait pas. Et puis... comme toutes les choses ont une fin... lorsque c'est arrivé, j'étais en cours. Mon portable avait sonné, j'avais regardé qui pouvait bien m'appeler à cette heure, et mes yeux s'étaient agrandis.
« Maman... ? » « Connor, c'est toi ? Désolé de t'appeler en plein cours, mais je m'inquiète, Mike n'est pas revenu depuis hier. » « Ça fait quoi, un demi- jour ? » « Non plus, il n'est pas rentré depuis hier soir. » « Enfin mais qu'est-ce-que tu veux qui lui soit arrivé ? Il est assez grand pour se prendre en main. » « Oui mais... son portable n'est plus en service. » « Quoi ? Lui sans portable ? Ce n'est pas possible. » « C'est bien ce que je me suis dis... j'appelle la police immédiatement. » « Il est 17h, je n'ai plus qu'une heure et je t'y rejoins. Ne préviens pas Chloé, elle serait capable de sécher les cours ! »
Le problème, c'est que nous n'avons plus eu de nouvelles. Plus du tout. Chaque matin, je me levais et j'espérais le voir, débarquant sur mon lit, en me lançant que j'avais eu la peur de ma vie. Çà aurait bien été son genre. Mary n'en dormait plus, et de notre côté, ce n'était pas mieux. Personne n'avait vu la différence, et heureusement car je ne sais pas si j'aurai tenu le coup. Je l'appréciais ce gars.
Votre Vie actuelle : Deux ans plus tard, après avoir longuement attendu, les mois sont passés, et j'ai du me faire une raison, il avait lui arriver quelque chose, ou il était tout simplement partit sans dire au revoir. Cette maison me rendait nostalgique, et c'est en autre pour çà que ma sœur et moi avons décidé de finir nos études hors d'Angleterre. Nous ne voulions pas partir loin, mais à part l'Amérique, nos pays voisins ne parlaient pas anglais et ce serait difficile. Alors ce fut décidé, Chloé et moi avions prit nos billets, direction Forks. Oui, nous voulions échappé à cette vie qui ne nous correspondait pas, ce n'était pas de la lâcheté. Au contraire, j'avais le courage de quitter mes amis, mes petites habitudes, mon professeur de piano qui allait laissé un vide, et surtout notre mère. Qu'est-ce que vous croyez, que c'est simple de tout abandonné ? D'aller dans un pays où tu ne connais personne. Il ne faut pas se faire d'illusions, il faudra se battre pour réussir à se faire intégrer. Et j'attendais ce jour avec impatience, de voir de nouvelles têtes ne me fera le plus grand bien. J'avais une certaine « réputation de Don Juan » ici que je voulais effacer. Recommencer à zéro, et se crée la personnalité que je désirais. En étant moi-même, bien entendu.
Cette petite ville me semblait sympathique pour commencer une nouvelle vie, il n'y avait pas trop d'habitants et nous pourrions nous baigner. C'était parfait. A l'aide d'internet, je me suis renseigné des prix des loyers. Je ne voulais pas de maison, à deux, ce serait un peu grand, et nous n'étions pas millionnaires non plus. Pour pouvoir y aller, j'ai du travailler les deux mois de grandes vacances. Enfin, je trouva un petit appartement assez mignon, aux couleurs oranges et jaunes. J'allais sur mes 19ans, nous étions en août et je venais de passer le permis. Il serait donc plus simple de se déplacer. Le voyage ne fut pas si long que je l'aurai imaginé. L'avion et les nouvelles technologies de nos jours. Par contre, j'étais nerveux, c'était la première. D'habitude, nous prenions le train, ou le bateau mais être dans les airs, c'était une drôle de sensation. Avant de partir, j'avais du vendre ma voiture, en avion çà aurait été dur de la transporter. Il faudrait donc en acheter une d'occasion en arrivant. C'est ce que nous avons fait en premier lieu. Un taxi nous avait déposé dans la première concession qui était sur notre route et j'avais pris un vieux 4X4, de quoi mettre nos affaires. Nous avions du prendre le stricte nécessaire, mais allez dire çà à une fille ! Elle allait devoir travailler les week-end, pour s'acheter de nouveaux habits. Enfin, pour le moment ce n'était pas la question, il faudra déjà se nourrir et payer le loyer chaque moi.
« Connoor, regarde-moi çà! C'est... » « Bien trop cher. » « Tu n'es pas drôle. » « J'ai juste pas envie de devoir te demander de faire la pute pour nous nourrir... enfin, après c'est toi qui voit. » « Je n'ai rien dis. Passons. »
Elle me faisait rire, on aurait pas dit que c'était elle la plus âgée de nous deux. Dans notre nouvelle voiture qui n'avait pas beaucoup d'essences, Chloé conduisait, donc nous n'étions pas près d'arriver à destination. C'était une fille, elle ne conduisait pas très vite. Ne me tapez pas, c'est la vérité. Les hommes sont plus cons, c'est vrai.
« J'aurai du prendre le volant. » « Mais t'inquiète pas, on va bientôt arrivés. » « Oh ce n'est pas çà qui m'inquiète, mais voyant la couleur du ciel et l'essence qu'il nous reste. Tu me diras, çà peut-être sympa de courir avec nos affaires sous un orage. » « Je n'aime pas quand tu dis çà car je ne sais jamais si tu plaisantes ou pas. »
Bizarrement, elle se mit à accélérer. On du demander notre chemin, après que le vieil homme nous ai aidé, celui-ci se mit à nous faire la conversation. Vu qu'on ne connaissaient personne, pourquoi pas ?
« Oh, vous ne venez pas d'ici, vous ! Laissez-moi devinez... vu l'accent, Anglais ou … Irlandais? » « Dans le mille, papy ! Anglais. Nous arrivons dans la région. » « Ah oui ? Intéressant, je ne savais pas qu'il y avait des nouveaux. Ça ne fera pas de mal un peu de jeunes dans cette ville ! Je dois vous quitter, le temps se gatte. Au plaisir de vous revoir. »
La première impression que j'avais de cette région était loin d'être négative. Où nous habitions, les personnes n'étaient pas ouvertes, il fallait presque leurs montrer un révolver pour qu'ils vous aident. Ici, çà n'avait pas l'air ainsi... et bien, espérons que çà ne soit pas qu'une impression et cela dure.
Vos envies, ambitions, votre avenir : Sans paraître hautain, j'ai eu la « chance » d'avoir un père qui était dans le monde de la musique, et je souhaite le suivre. C'est en autre pour cela que je n'ai pas de relations sérieuses avec les filles, je ne veux pas faire comme lui, et faire souffrir ma femme. Je sais exactement ce que je veux être, et son rôle ne serait que minime alors j'ai fais mon choix. Pour l'instant, çà ne gêne pas. J'ai beaucoup d''autres ambitions... je voudrais apprendre les arts martiaux comme le Yoseikan Budo, j'ai entendu parlé que c'était un mélange de boxe, judo et de karaté, tout cela pour évacuer ce trop plein d'énergie qu'héberge mon corps. Je voudrais aussi par la même occasion faire du théâtre, on me dit souvent que je devrais en faire, alors pourquoi pas ? Jouer la comédie, çà me plairait bien, se mettre dans la peau d'un personnage et devenir acteur. A m'écouter, vous croyez que je suis quelque peu naif, mais bien au contraire. Je ne cherche pas à rêver, mais plutôt à prouver qu'à force de croire que n'as pas les capacités de faire telle chose, tu as juste peur d'avancer, et quitte à tomber, je me relèverai. Je n'attendrais pas que l'on vienne modifier ma vie, alors j'essaie. Je vais aller passer des auditions dans les villes proches de Forks, que l'on voit mes capacités et après, je jurerai si je suis à la hauteur, sinon il ne me manquera plus qu'a me perfectionner. Je ne laisserai pas tomber.
Il n'est pas nécessaire d'ajouter que retrouver mon frère me tient à cœur, ou du moins je souhaiterai savoir ce qui s'est passé, car je ne l'imagine pas nous quitter du jour au lendemain sans explications. Puis, il avait tant donné de sa personne afin de ne pas décevoir notre mère, de l'aider et de travailler que çà ne me viendrait pas à l'idée. Je lui fais confiance, s'il est encore en vie, il reviendra à nous. C'est pour cela que maman refuse de déménager, elle espère qu'il revienne... ce n'est pas son fils biologique, mais je crois bien que quand il est venu vivre avec nous, elle s'est rendu compte que ma sœur et moi aurions pu suivre ses traces.
Plus tard, il est sur que j'aurai un travail, peut-être pas important, mais quelque chose qui me plaît, dans lequel je m'investirais. Je pense qu'il n'y aucun sous-métier. Ce sera en Amérique, c'est ici que j'ai le plus de chance de faire carrière. N'allez pas croire que j'ai déjà les chevilles qui enflent, c'est important d'avoir des objectifs dans la vie, et j'y crois, il n'y a pas de mal. Avec de la volonté et un peu de charisme, je peux devenir quelqu'un. Ce serait une revanche sur mon père, lui qui aura travaillé toute sa vie nuit et jour car il n'avait pas osé voir plus grand qu'un groupe qui fait des tournées en Angleterre. Un jour, il me verra à la télé, au cinéma, ou sur une pochette de CD et il comprendra que sa vie aurait été ratée du début à la fin.
Dernière édition par Connor F. Wyves le Mar 22 Déc - 20:03, édité 10 fois
- Description physique : Ce garçon n'a rien d'exceptionnel quand on le voit, par exemple en photo. Il faut l'avoir en face de soi pour que son charisme fasse effet. Il a un visage charmant, sans que que chaque fille ne se retourne sur son passage. C'est un tout, et c'est en apprenant à le connaître que l'on tombe sous son charme sans le moindre problème. Les cheveux châtains clairs mi-long, avec de nombreuses mèches rebelles qui lui arrivent de vouloir les lisser quand cela n'est plus possible. Ils ne sont pas bouclés, mais c'est fréquent que ses cheveux veuillent tomber sur son visage, et nous parlons d'une mèche alors il faut savoir la dresser, tout de même. Pour un homme, il a une taille raisonnable du haut de ses 1m82 alors que l'on ne pourrait le qualifier " d'enveloppée ". Ce n'est pas faute de manger, mais non, il ne fait que 66 kilos. Sa sœur lui demande constamment quel est son secret pour ne pas prendre de poids. C'est simple, il suffit de faire un peu de sport, et de ne pas manger comme un glouton quand çà ne va pas. Parlons de son sublime sourire que l'on voit si souvent, mais on ne s'en lasse pas... en le regardant si heureux, tu ne peux te douter que la vie n'est pas rose. C'est vrai qu'il n'a vraiment rien de plus qu'un autre, et pourtant... ce n'est pas le succès qui lui manque. De nos jours, les filles préfèrent un garçon bien dans ses chaussures, charmant et qui sait les faire rire. C'est tout ce qu'est Connor, avec de l'humour en supplément. Dans la rue, il ne se fait remarquer qu'à cause de la lueur qui est dans ses yeux bruns, si courants, mais je ne sais pas, ils plaisent tout de même. Comme tout garçon, ce n'est pas un fana des magasins, alors il faut l'obliger pour aller s'acheter de nouveaux habits, il n'a pas de style particulier, à part de se confondre dans la masse. Par contre, le jeune homme n'est pas contre une jolie chemise chic, pour une soirée particulière ou pour séduire une jolie fille. C'est intéressant de savoir surprendre. Ce n'est que sa personnalité qui le différencie, non pas ce qui lui couvre le corps. Ce n'est que du superflu à ses yeux, il vous dirait même: « Touuuuus à poils, tu es le même, sauf que du point de vu des autres, tu es juste découverts ». C'est sa phrase fétiche pour tous les pudiques.
- Caractère : Vous êtes marrants, il est difficile de décrire son caractère, et vu que je suis un homme, autant que se soit une femme qui fasse ma description. Déjà, je crois bien que le jour de sa naissance lui correspond. Un 2 avril, mais il faut noter que c'était à une heure du matin, alors pour ne pas chipoter, on fait comme si c'était le 1 avril. Les farces, n'en parlez pas, il connait. C'est même son domaine, c'était son activité favorite pour s'occuper en étant petit... ne pas dormir à la maternelle, ou encore badigeonner les élèves et sa maitresse de peinture. Mais Connor, c'est un garçon que je trouve « parfait ». Oui, vous me direz, un homme ne l'est pas, il a toujours des défauts qui font sa personnalité, même s'ils sont bien dissimulés. Je ne crois pas que çà soit son cas. Il est à la fois gentil, agréable, et drôle. C'est étrange, je m'explique en disant qu'il doit être gay, ce n'est pas possible autrement. De ce côté-là, j'ai tout de même un doute, car il a eu nombre de conquêtes que je ne compte plus. Ça ne dure jamais bien longtemps, Connor sait ce qu'il veut, et les filles n'aiment pas forcément être au second plan, ou tout simplement, il n'a pas encore trouvé celle qui lui correspondait. Sa passion de la musique et du théâtre le rend « à part ». Il est dans son monde, mais c'est un garçon extraverti qui profite de la vie. Par contre, je ne crois pas qu'il est déjà mal traité une fille, mais s'il arrivait que sa future copine le trompe, elle n'aurait plus de place dans sa vie. Et c'est que c'est un rancunier. La confiance est quelque chose qui se mérite, comme on le dit si bien. Même si on croit bien des choses à son sujet, j'ai pu remarqué qu'il aimait aider les autres, les soutenir quand çà n'allait pas en les faisant rire, mais ce n'est pas réciproque. Ses problèmes restent ancrés en lui, mais tant que le beau blond arrive à gérer... toujours le sourire, alors que sa vie n'a pas été rose. Le manque d'amour que ses parents ne lui ont pas donnés passe inaperçu. Je vous explique, c'est un tactile, même quand il ne fait que dire bonjour, il lui faut toucher l'autre. Un petit défaut, pour la route ? A force de faire croire que tout va bien, on pourrait en avoir assez. Il ne parle jamais de lui, ou que sur le ton de la rigolade. Ouvre-toi, tout ira mieux. A part cela, j'admire sa détermination. On voit qu'il sait ce qu'il veut faire de sa vie, mais à force d'avoir « trop » confiance en soit, on peut tomber de haut. Je ne dis pas que Connor se croit déjà Star, même s'il a tout pour le devenir, mais çà serait bien s'il était aussi indulgent avec les autres qu'avec lui-même. Tu peux faire une erreur, il en rigolera, mais il met la barre trop haute pour sa propre personne. Un perfectionniste en herbe. Pourtant, l'anglais ne se prend pas la tête, il vit au jour le jour. S'il s'est levé du mauvais pied la veille, aujourd'hui est un nouveau jour. On ne s'ennuie pas avec lui, alors pourquoi est-il célibataire ? Et si... c'était son choix ? S'attacher, ce n'est pas facile, et d'un sens, il a « peur » de souffrir, de réaliser que les autres ne sont pas aussi gentils que dans son esprit. Bien entendu qu'il le sait, mais il omet ces informations. Peut-être pour se protéger, car même si on le croit fort et que rien ne peut lui enlever ce sourire de tombeur, il est comme chacun de nous, un être humain avec un cœur. Et vous savez aussi bien que moi que cet organe peut facilement être touché, mais qu'il faut du temps pour qu'il se soigne, alors autant éviter cela, et se préserver.
- Nationalité : L'Angleterre, vous connaissez ? Ces terres humides où il pleut continuellement. C'est que je ne voyais pas réellement de différence entre chaque saison, le froid était toujours présent. J'exagère peut-être un peu... c'est pour dire qu'à la longue, je m'étais surpris à détester ce climat. C'était peur dire, j'attendais les vacances avec impatience, aller au soleil, en France par exemple. Ce n'était pas bien loin, et même si je ne parlais pas un mot, je m'amusais drôlement.
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Chloé Wyves, ou devrais-je dire ma chère sœur ainée de 20 ans. Je suis si fière de ce que tu es devenue, pourtant nous ne nous entendions pas en étant petits, je suppose que tes problèmes d’adolescente se dévergondant nous ont rapprochés. C’est avec plaisir que tu m’as suivie en Amérique, et je t’en remercie. Nous nous ressemblons plus que tu ne le penses, je sais que si quelqu’un te voudrait du mal, il n’aurait pas à faire à moi, il le payerai de sa vie. Je suis sérieux, tu comptes bien trop à mes yeux pour que tu ai le droit de me laisser seul sur cette Terre. Ça doit être cela quand tu ne t’entends pas avec le reste de ta famille, tu te rattaches à ce que tu peux.
Mikael Wyves, nos différences nous ont éloignés… notre âge aussi, peut-être. Tu n’as pas la même vision du monde que moi, quand tu as disparu, tu n'avais que 23 ans alors que ton petit frère avait 15 ans. Deux frères devraient se soutenir, mais il faut croire que tu n’étais pas comme les autres. Tu voulais prouver que tu avais ta place dans cette famille, mais bon sang, au lieu de te faire remarquer en train de faire des conneries, tu aurais du comprendre que dès que maman nous a annoncé que tu viendrais vivre avec nous, tu l’avais déjà, ta place. A l'époque, je n'avais que huit ans quand tu es arrivé dans la famille. Je ne peux m’empêcher de culpabiliser, j’aurai du essayer de me lier avec toi, au lieu de te laisser tomber, même si tu le méritais. Que veux-tu, tu restes mon frère malgré ton caractère de chien, même si nous n’avons pas la même mère, alors cesse de te sentir rejeter. Je n’ai plus de nouvelles depuis trois ans, enfin depuis que nous avons quittez la maison, Co’ et moi. C’est un vide, je voudrais enfin que nous nous entendions, que tu acceptes de venir en Amérique, il reste toujours une chambre de libre, tu sais, la tienne. Sans le savoir, j’avais un frère… vampire, qui essayait à tout prix de lutter contre l’appel du sang. Derrière cette carapace se trouve un cœur, enfin c’est ce que je pensais. Tu es partis de la maison, non pas pour nous quitter, mais pour nous protéger. Un jour, peut-être, tu viendras m’expliquer tout cela. Pour le moment, je me tiens à la version officielle : tu nous as abandonné il y a trois ans, alors que j’avais quinze ans.
Mary Wyves, chère mère. Tu t'es mariée à 19 ans, mais si tu avais su que ton mari t'avait trompé... Tu auras eu un mariage bien difficile, et je comprends d’un sens que tu ne sois pas maternelle avec tes enfants. J’ai… je n’ai pas eu la chance d’avoir des parents présents dans mon enfance, mais j’espère que toi, au moins, tu prendras conscience un jour de ce que tu as loupé. Malgré tout, je t’aime, et le fait que tu acceptes que nous grandissions, en allant étudier en Amérique était le bon choix. A 46 ans, tu peux enfin commence rune nouvelle vie, avec un nouvel homme.
John Wyves, tu n’as jamais su m’écouter, voir me comprendre. Il n’y avait que ton boulot qui comptait à tes yeux, et nous, tes enfants, nous n'étions rien. Ce n’est pourtant pas pour cela que je t’ai renié mais je me suis fais une raison, tu ne seras jamais un père, juste de la connerie humaine. Et puis, quand maman a décidé de divorcer, tu as refais ta vie. Tu nous as même demandé de recueillir un jeune homme qui était ton fils, et que tu avais eu pendant ton mariage. J’aurai été maman, je ne l’aurais sûrement pas pris, mais à l’époque, j’ai tout de suite en le voyant pour la première fois que tu avais été encore moins humain avec lui qu’avec ma sœur et moi, et qu’il avait besoin d’aide.
Dernière édition par Connor F. Wyves le Mer 23 Déc - 20:15, édité 7 fois
Bonne chance pour ta fiche ^^ J'ai déjà vu une erreur dans les liens avec ton frère : "A l'époque, je n'avais que huit ans."... C'est pas logique vu que ton perso a 18 ans oO
Tu pourrais me rendre un service ? J'ai vu ( enfin avec mon autre perso ), que tu faisais des avatars sublimissimes *____* alors, est-ce qu'il serait possible que tu m'en fasses un pour lui ?
Sujet: Connor Frederic Wyves ( 100 % ) 
Lun 21 Déc - 15:53
Alors je me tais jusqu'à ce que t'ai finit 
XD